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vendredi 28 juillet 2006

Show sur la Racine





Étienne, David et les frères Compartino ont donné un super de bon show ce soir sur la rue racine. Pas d'incident et beaucoup de monde pour applaudir les riders. Trois show en 1h30, pas besoin de dire qu’y faisait chaud dans le casque. C ‘était très bien comme ambiance, avec des cracheurs de feu et des jongleurs douteux. Merci à Morneau qui a filmé et à Nachos qui a pris d’excellentes photos de chicks. Photos du show dans la section #5 des photos.

11 Comments:

At 10:40 p.m., Blogger Marcel said...

torpinouche de bonnes photos Nach!

 
At 9:26 a.m., Anonymous Anonyme said...

maisent jirait jusqua dire que torpinouche est pas un asser gros mot ;p

 
At 5:43 p.m., Anonymous Anonyme said...

les filles en bleu c'est tu la crew de math 14 ??? si oui ta un méchant gros harem de fille mon homme !

 
At 7:55 a.m., Anonymous Anonyme said...

tageule lol

 
At 8:14 a.m., Blogger Marcel said...

Je crois que tu a visé juste pour le harem

 
At 8:19 a.m., Anonymous Anonyme said...

aaaaaaaa

 
At 8:21 a.m., Anonymous Anonyme said...

ques sa veu dire sa harem

 
At 9:16 a.m., Blogger Marcel said...

HAREM, subst. masc.
A. [En pays musulman] Lieu réservé, interdit aux hommes, où habitent les femmes et les concubines. Le harem du pacha, du sultan; les harems de l'Orient; être captive, enfermée au fond d'un harem. Partout les harems forment une aile un peu séparée par des jardins ou des cours de l'appartement des hommes. Ils sont grillés (LAMART., Voy. Orient, t. 2, 1835, p. 389) :
Il a de grands harems pleins de femmes fort belles
Que surveille un troupeau d'eunuques abyssins;
Arabes du Hedjaz aux longs yeux de gazelles,
Juives aux cheveux noirs, Persanes aux seins bruns,
Et négresses d'Égypte aux ardentes prunelles.
LECONTE DE LISLE, Poèmes trag., 1886, p. 126.
B. P. méton. Ensemble des femmes qui habitent ce lieu. Un harem nombreux. De vieux Turcs avec leurs femmes portées dans des paniers, un harem tout entier qui voyageait voilé et qui criait, quand nous sommes passés près de lui, comme un bataillon de pies (FLAUB., Corresp., 1850, p. 208).
P. métaph. L'hiver, il chambrait tout un harem de roses en pots dans sa petite maison (COLETTE, Gigi, 1944, p. 208).
P. ext., fam. Femmes entourant un homme. Mario, entouré de son harem [=entre ses deux femmes, maîtresses en titre et en second], trônait comme l'Aga Khan soi-même (LE BRETON, Rififi, 1953, p. 33).
Prononc. et Orth. : [] init. asp. Att. ds Ac. dep. 1835. Étymol. et Hist. 1. 1559 haram « grand péché » (G. POSTEL, République des Turcs, 64 cité par R. ARVEILLER ds Z. rom. Philol. t. 93, p. 324); 2. ca 1660 haram « appartement des femmes chez les musulmans » (RAPHAËL DU MANS, Estat de la Perse en 1660, 20, ibid., p. 325); 3. 1661 haram « ensemble des femmes d'un harem » (F.C. LE COMTE et E. CARNEAU, trad. Les fameux voyages de Pietro Della Valle, t. II, 140-141, ibid.); 1673 harem (A. GALLAND, Journal, B.N. ms. fr. 6089, 39 ro, ibid., p. 326). Empr. à l'ar. « chose interdite et sacrée; enceinte sacrée; épouse, femme ». Fréq. abs. littér. : 209. Fréq. rel. littér. : XIXe s. : a) 184, b) 603; XXe s. : a) 381, b) 178. Bbg. QUEM. DDL t. 3, 7, 13. - SAINT-JACQUES (B.). Sex, dependency and language. Linguistique. Paris, 1973, t. 9, p. 95.

 
At 9:29 a.m., Anonymous Anonyme said...

En court résumer ses un homme qu’il a beaucoup de femmes

 
At 6:21 p.m., Anonymous Anonyme said...

mai s toi tan na auvune lol apart cesr chose la

 
At 9:01 p.m., Blogger Marcel said...

Rep: yaueer, tyhai rim pofldi gignobey mamdou el jienbya.
Maintenant, ont se comprend hein!

 

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